Arrivé à Ndjamena à la tête d’une délégation de haut niveau pour statuer sur la crise politique au Tchad, le président du Conseil de paix et de sécurité ne pense pas que sanctionner les nouvelles autorités est un bon remède à la situation actuelle du Tchad et de la sous-région africaine.
Mohamed Idriss Farah a dit ce 3 mai 2021 sur les antennes de RFI que sanctionner le Tchad pourrait impacter négativement son engagement dans la lutte contre le terrorisme au lac Tchad et au Sahel.
Nestor Yaldé
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