Le 17 septembre, la cour d’appel de Paris a confirmé que le gouvernement tchadien doit payer 16 milliards de FCFA à la société N-Soft, suite à un litige sur un contrat de service signé en 2017. Malgré un protocole d’accord de résiliation en 2020 et un engagement de dédommagement de 25 millions d’euros non honoré, le Tchad refuse toujours de régler ses créances, rapporte financial afrik.