Dans les infrastructures, les routes sont d’une importance inestimable pour un pays, elles connectent les différentes villes, désenclavent le pays, facilitent la circulation des usagers, et font croître l’économie.
D’un point de vue économique, un kilomètre de route bitumée coûte plus d’un milliard de francs CFA, dont la durée de vie est approximativement bien déterminée. Une route qu’elle soit revêtue ou non revêtue, requiert des entretiens périodiques lui permettant de prolonger sa durée de vie.
Les routes de la ville de Ndjamena sont d’une extrême fragilité du fait de leurs constructions, le manque d’entretien, et aussi des problèmes d’assainissement. La plupart d’entre elles manifestent des dégradations, des ravins, des nids-de-poule, des tôles ondulées, des arrachements etc. Le traitement de ces atrocités exige des matériaux qui répondent aux normes et une bonne technique de mise en œuvre.
Plus l’entretien est négligé et plus les déformations seront de plus en plus grandes, c’est ce qui conduit le plus souvent à une réhabilitation de la chaussée.
Il existe des entreprises nationales et internationales très sérieuses dans l’exécution des travaux en bâtiment et travaux publique à l’instar de SOTCOCOG SA, Arabe contractor, Razel et SATOM reconnue dans les pays de la sous région. Parmi ces entreprises, celle qui m’a le plus marqué est SOTCOCOG SA une entreprise tchadienne, méthodique et très rigoureuse. SOTCOCOG SA, a fait ses preuves sur le terrain en exécutant des travaux d’une très grande envergure. Confier ses projets à cette entreprise, c’est garantir son investissement en terme de qualité et de durabilité de ses ouvrages.
Comme mission de contrôle, LABOGEC ne fait pas le moindre, l’entreprise a fait aussi ses preuves en matière de contrôle et surveillance des travaux et d’étude des sols d’une très grande carrure. Missionner l’entreprise, c’est aussi garantir la qualité de ses travaux.
Si le sujet des inondations est pris au sérieux en créant un comité de prévention et de gestion des inondations, il est aussi plus que nécessaire de créer un comité pour entretenir et sauver les routes de ces désastres.
Entretenir les routes c’est atteindre et faire prolonger la durée de vie de ces routes mais aussi économiser pour d’autre projet que de procéder à une réhabilitation ou une reconstruction.
Ing Abdelmadjid Bachar Ouchar