
#OPINION … « Au lieu de les interdire, il faut penser à une unité de transformation des plastiques Leyda », propose le président du Collectif des investisseurs tchadiens
Je salue la bonne intention de monsieur le Maire mais; Je rappelle à Monsieur le maire Senoussi Hassana Abdoulaye, que lui c’est un intellectuel, sur qui nous avons beaucoup compté
Je salue la bonne intention de monsieur le Maire mais; Je rappelle à Monsieur le maire Senoussi Hassana Abdoulaye, que lui c’est un intellectuel, sur qui nous avons beaucoup compté pour la relance l’économique et la création d’emplois dans la commune de N’Djamena.
En ce sens , il ne devrait pas, à l’instar de ses prédécesseurs prendre des initiatives hâtives et irréfléchies. Qui ne concourt pas à l’amélioration des conditions de vie de ses concitoyens. Interdire les leydas sans proposer en échange des emballages appropriés beaucoup moins chers aux activités génératrices des revenus, c’est empêcher beaucoup des micros et petites entreprises locales qui peinent déjà à joindre les deux bouts de s’épanouir.
Les leydas sont aujourd’hui les seuls emballages bon marché. donc moins chers pour le consommateurs payeurs finaux ; permettant aux micros et petites entreprises locales naissantes de se lancer pour devenir des grandes industries. Au lieu d’interdire cela, vaux mieux réfléchir à en tirer profits des leydas par sa transformation en d’autres choses d’utiles pour la commune.
Tout en permettant aux micros et petites entreprises de prospérer économiquement.
En attendant que les consommateurs tchadiens aient le pouvoir d’achat de se payer des produits locaux avec emballages craquants aluminium ou autre cartonnés qui nous reviennent entre 25f; 100f; jusqu’à 250fcfa l’unité d’emballage craquants ou cartonnés. N’est-ce pas c’est de l’argent perdu pour les consommateurs à faible revenus?
Mahamat Nour Abakar
Président du Collectif des investisseurs tchadiens.
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