À N’Djamena, une tendance préoccupante émerge parmi les jeunes : de plus en plus d’adolescents s’adonnent à la consommation de substances nocives. Dans un effort désespéré pour s’intégrer et se sentir acceptés, ces jeunes mettent en péril leur santé physique et mentale. Ceux qui choisissent de ne pas céder à cette pression des pairs se retrouvent souvent isolés, considérés comme des parias au sein de leurs groupes d’amis.
Cette situation met en lumière la pression intense que subissent les jeunes, les incitant à adopter des comportements dangereux. Pourtant, le véritable courage réside dans la capacité à faire des choix éclairés. Refuser de consommer ces substances n’est pas un signe de faiblesse, mais plutôt une preuve de force et de sagesse. Les risques associés à la consommation de substances nocives sont nombreux : problèmes respiratoires, dépendance et impacts négatifs sur le développement physique et mental.
Au contraire, les jeunes qui résistent à ce diktat social donnent l’exemple de sagesse et incitent leurs pairs à réfléchir aux conséquences de leurs actions. La situation semble alarmante et par conséquent, la responsabilité de l’État et des parents est engagée. Ils doivent créer un environnement sain où chaque jeune se sent libre d’être lui-même, sans céder à la pression sociale.
Il est essentiel de valoriser les choix sains et de soutenir ceux qui restent fidèles à leurs convictions. La véritable acceptation vient du respect mutuel et du soutien, pas des comportements autodestructeurs.
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