DNIS… Retour sur l’intervention de Kony Babing-ne Princess, représentante du Centre de Recherche et d’Action pour le Développement (CEREAD) qui précise que la violence faite aux femmes est beaucoup plus axée sur celles conjugale et psychologique.

Elle précise aussi que malgré les discours, les chants et les marches, les femmes tchadiennes sont réduites au néant quant à la gestion du pays.

Elle se demande pourquoi doivent-elles revendiquer d’abord leurs places avant de l’avoir ?

« Nous disons non, pourquoi nous devons d’abord soulever chaque jour de poussière pour avoir ce qui leur revient de droit?, les textes sont là, il faut juste les appliquer » Indique t-elle.

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