TCHAD/DNIS…. La désignation des membres du Cadre Permanent du Suivi- Évaluation des Résolutions et Recommandations du DNIS provoque des mécontentements des membres de la commission ad-hoc N°3.

La réaction d’un des membres de ladite commission ⤵️

Mr le Conseiller Dr. Issa Doubragne, en votre qualité de vice-président de notre Commission ad hoc numéro 3, nous les membres de ladite Commission, nous vous saisissons solennellement en cette qualité, en vue donc, de faire valoir nos légitimes droits et nos justes réclamations.

En effet, nous vous saisissons pour un seul et unique motif : celui de faire parvenir au Président du Cadre Permanent de Suivi-Évaluation des Résolutions et Recommandations du Dialogue National Inclusif et Souverain, en l’occurrence, M. Gali Ngothé Gatta et au Président de Transition.

Que les membres de la Commission ad hoc numéro 3 expriment leur insatisfaction de ne point voir leurs membres représentés dans le Cadre Permanent.

Que la mise en conception même du Cadre Permanent de Suivi-Évaluation des Résolutions et Recommandations du Dialogue National Inclusif et Souverain, est d’abord et avant tout, l’imagination doublée du travail acharné et sans répit abattu par les membres de la Commission ad hoc numéro 3.

Or, que constatons-nous tristement aujourd’hui ? Eh bien, nous constatons le fait suivant : parmi les membres du Cadre Permanent, quasiment aucun n’a été véritablement membre de la Commission ad hoc numéro 3 et moins encore travaillé à la conception duquel Cadre, en dehors de l’exception notable de notre vice-président Dr. Issa Doubragne et du premier Rapporteur adjoint Dr. Ramadji Alfred.

En d’autres termes, les membres de la Commission ad hoc numéro 3 ne se sentent guère représentés dans la composition actuelle du Cadre Permanent. Il y’a donc, lieu de revoir la liste, et ce, urgemment.

Nous, membres de la Commission ad hoc numéro 3, qui plus est, concepteurs du Cadre Permanent, réclamons et faisons valoir nos légitimes droits à être des membres à part entière dans le Cadre Permanent. « A César ce qui est à César. Et à Dieu ce qui est à Dieu ».

En définitive, M. Le vice-président Dr. Issa Doubragne, nous osons croire et espérer quant à votre promptitude, célérité et diligence à faire parvenir, dans les meilleurs délais, notre requête à qui de droit.
Cordialement !

Dr. Brahim Oguelemi, deuxième Rapporteur adjoint de la Commission ad hoc numéro 3.