OPINION/MEDIAS….L’ONAMA et ses scandales, encore un nouveau numéro ce 22 décembre dernier


Selon un internaute qui rapportait sur sa page Facebook, l’enregistrement de l’émission FESTAFRICA SHOW du mercredi dernier a été annulé à cause d’un technicien qui a refusé de répondre présent.

“Mercredi 22 décembre 2021, était le jour prévu pour l’enregistrement de l’émission FESTAFRICA SHOW. Des hommes d’affaires, des entrepreneurs, des artistes et même des élèves étaient tous présents.

Des hommes et des entrepreneurs qui avaient forcément des affaires à faire, mais qui ont tout, absolument tout laissé tomber, parce qu’ils sont invités pour partager leurs expériences avec le public tchadien par le biais de ladite émission.

A 14 heures comme prévu tout était prêt pour l’enregistrement de l’émission, le public attendait impatiemment cette émission qui, finalement n’a pas eu lieu à cause d’un technicien qui a manqué son devoir professionnel.

2 heures passées, l’enregistrement n’a pas commencé, le public dans la salle de spectacle et les invités dans la salle VIP ont commencé par manquer de patience, dont certains à l’exemple de l’artiste Darsila ont été obligés de quitter l’ONAMA, pour d’autres occupations.

C’est quelques minutes après qu’on annonça au présentateur de l’émission qu’un technicien serait absent et c’est la raison du retard de l’enregistrement de l’émission, le présentateur s’énerva et annula l’émission

La colère paralysa les corps de tout le monde, dont certains n’arrivaient même pas à prononcer un seul mot. Le cas le plus touchant est celui des entrepreneurs et les hommes d’affaires qui vivent de leurs affaires mais qui n’ont ni partagé leurs expériences avec le public moins encore exercés leurs activités de ce jour.

Comment comprendre qu’un technicien puisse boycotter toute une émission pour laquelle il était programmé ? Défie-t-il ses supérieurs hiérarchiques ou l’absence de passion pour ce métier ?

Faut-il le rappeler, il existe à l’ONAMA, des individus qui n’ont aucun respect pour leurs supérieurs hiérarchiques, aucune formation en rapport avec le domaine de l’audiovisuel, aucune passion pour le métier mais sont là parce qu’ils sont protégés par un parent ou une connaissance qui a une forte influence politique.

Journalistes, Gouvernement et organisateurs sommes tous interpellés et le changement dépendra des actes que nous poserons ensemble.

Ahmat Adoum Mousssa”

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